La dissuasion nucléaire de la France

1 Son principe : Rappel de la doctrine française

2 Rappel historique (de 1945 à 1968 et ultérieurement jusqu’en 1996)

3 La délivrance du feu nucléaire par deux composantes (aérienne et/ou sous-marine)
Les autres composantes, plateau d’Albion et missile Hadès ayant été abandonnées

4 Les différents segments de la chaine entre le Président de la République et le feu nucléaire.
4.1 Premier segment : L’abri du PR (PR = Président de la République)
4.2 Deuxième segment : La transmission de l’ordre de feu vers une station d’émission VLF ou vers la composante aérienne ou aéronavale (TNA de 300 kT) portée par l’ASMP-A)
Cas particulier de l’ASMP-A et de sa tête unique TNA de 300 kT qui peut servir d’ultime avertissement en étant tirée en haute altitude pour provoquer seulement une EMP / IEM
4.3 Troisième segment : Les stations VLF et les systèmes de secours (anciens et nouveaux)
4.4 Quatrième segment : Le tir des 16 missiles M 51 embarqués à bord du sous-marin
4.5 Cinquième segment : La phase propulsée et la phase balistique des charges TNO
4.6 Sixième et dernier segment, séparation des charges et guidage indépendant libération des leurres de saturation.
Atteinte des objectifs par les charges qui n’ont pas été détruites :
Destruction massive des villes et des complexes industriels de l’adversaire.

5 Conception du missile M 51 (le dernier né) et de ses têtes nucléaires
Les TNO (100 kT) qui remplacent les TN 75 (110 kT), toutes deux de type MIRV (Military Independant Reentry Vehicle)